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La Raie des sables

Benno Vranken

Un paumé, la tête bandée, cherche dans un port perdu un cargo nommé Raie des sables, qu’il ne trouvera jamais. L’asile n’est pas loin…

Mes génies : Leurs pareils à deux fois ne se font pas connaître

Wandrille

Un auteur de bande dessinée se retrouve enseigner dans une académie spécialisée où il doit péniblement transmettre son savoir à de jeunes apprentis bédéastes pas toujours rapides du bulbe.

Wandrille – par ailleurs également éditeur, blogueur, graphiste, traducteur, chroniqueur… –
s’est inspiré de sa propre expérience d’enseignant pour cette plongée féroce et jouissive dans l’univers impitoyable des études d’art.

Elle rappellera des souvenirs à tous ceux qui ont étudié et offrira une douce vengeance aux professeurs de toute matière.
De quoi donner envie de faire de la bande dessinée tout en perdant toute vocation d’enseignement.

Nominé pour le prix Papiers Nickelés – SoBD 2021

> Ces tribulations professorales continuent avec
Mes génies : Mes élèves, ma bataille

Mes génies : Mes élèves, ma bataille

Wandrille

Seconde année de sacerdoce pour un auteur de BD enseignant dans une académie spécialisée et sidéré par le génie de ses élèves, surtout dans le hors-sujet.
Être prof, c’est une vocation, mais passé quelque temps, c’est de l’acharnement.

Ce récit, d’inspiration autobiographique (par un auteur également éditeur, graphiste, chroniqueur…), constitue une nouvelle plongée parfois féroce, souvent jouissive mais aussi tendre dans l’univers impitoyable des études d’art. Il rappellera des souvenirs à tous ceux qui ont étudié comme aux professeurs de toute matière.

Le lecteur aura autant un aperçu des bases de la BD que de la meilleure façon de traumatiser étudiants et professeurs avec un rendu de partiel…

> Ces tribulations professorales ont démarré avec
Mes génies : Leurs pareils à deux fois ne se font pas connaître

43

Zou

43. Depuis la disparition au Mexique en 2014 de quarante-trois étudiants de l’école normale rurale d’Ayotzinapa, ce nombre est devenu symbole des disparitions forcées, opérées avec la participation, le soutien ou l’autorisation d’agents de l’État pour se débarrasser de qui dérange le pouvoir, le profit ou le crime.
Deuil impossible, espoir insensé de revoir siennes et siens, la disparition forcée est un mal qui ronge les esprits dans de nombreux pays.

Rythmé par 43 masques-effigies numériques créés sur une base de 43 × 43 pixels, ce livre est un compte, en écho à celui scandé par les proches des victimes lors des manifestations destinées à exiger de l’État « Vérité, mémoire et justice ».
Ouvrage atypique, il peut être vu comme un essai graphique désirant sensibiliser à un grave problème contemporain, comme une élégie graphique, dédiée à toutes celles et tous ceux qui pleurent la disparition des leurs, au Mexique et ailleurs.

Zou est l’initiateur du groupe MixMix (Ata, Leconte, Pic et Zou), publié au milieu des années quatre-vingt chez Futuropolis par Étienne Robial et Florence Cestac. Il a participé à l’aventure de diverses revues et contribué à plusieurs ouvrages collectifs de BD. Il a également autopublié deux ouvrages en 2020.

Sabrina Melenotte, autrice du texte du livret qui accompagne l’ouvrage, est anthropologue, chargée de recherche à l’Institut de Recherche pour le Développement (IRD). Son travail porte sur la violence et ses effets sociaux et analyse les recherches de personnes disparues au Mexique.
Traductrices : Verónica Vallejo Flores (espagnol) & Caroline Jane Williams (anglais).

Ouvrage publié avec le soutien de l’IRD.