Les quatre tomes de la série réunis sous un coffret illustré, numéroté et signé par l’auteur.
Deux catcheuses plutôt singulières passent leur vie à se battre dans des endroits improbables : banquise, supermarché, piscine, forêt, cinéma…
La force conjuguée des traits mêlés des deux auteurs a donné 12 images, sérigraphiées au Cagibi à Lille à 150 exemplaires (dont 30 épreuves d’artiste) en 3 couleurs sur papier Bioset 400 gr.
Boîte en découpe originale, imprimée sur Materica Kraft 360 gr.
Quatre courts récits, sans paroles, teintés d’érotisme. Autant d’étranges voyages oniriques et sensuels, parfois drôles, parfois cruels, à travers le corps et les désirs des femmes.
Baladi est toujours au dessin pour ce deuxième ouvrage de la collection, avec cette fois la complicité du violoncelliste Brice Catherin, concertiste et compositeur de musique contemporaine.
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Ô lecteur, tu vas enfin apprendre, de la bouche des personnages qui ne s’étaient pas encore exprimés, les mystères de cette histoire. Qu’enfin soit ici démêlé l’écheveau des récits imbriqués et des liens secrets…
Après Nuit tombante, Nuit profonde et Nuit blanche, Midi est le dernier volet de la série Nuit, adaptation virtuose d’un conte des Mille et une nuits.
En octobre 2016, la Cafetière et Les Oiseaux de passage ont monté une exposition commune autour de la série de Baladi et de celle de Gaël Rougy, Sindbad le marin. Un petit ouvrage créé par les deux auteurs est paru à cette occasion.
Il existe, dans les catalogues de la Cafetière et des Oiseaux de passage deux séries qui ont comme point commun de s’inspirer de l’univers des Mille et une nuits : Nuit de Baladi et Sindbad le marin de Gaël Rougy. Ni une ni mille hésitations : les éditeurs ont monté en octobre 2006 une exposition commune autour de ces séries et les auteurs ont concocté un petit ouvrage à cette occasion, qui prolonge leurs œuvres respectives.
Où l’on apprend qu’un des protagonistes de cette histoire a perdu la mémoire de ce qu’il fut et qu’un autre n’est pas ce que l’on croyait.
La nuit passe, riche en rebondissements… Après Nuit tombante puis Nuit profonde, voici le troisième volet de la série.
Adaptation d’un conte des Mille et une nuits, la série initiée début 2004 suit son cours.
Un univers en construction-déconstruction, troublant et hypnotique, où s’entremêlent minéral, aérien, liquide et organique.
Initiateurs du projet, Baladi et le musicien Ghostape inaugurent la collection Morceau avec un récit onirique, sans paroles, en totale adéquation avec une musique tout en subtils collages sonores.
Ecoutez un extrait musical
Trois femmes accueillent, durant une longue nuit, quatre hommes en leur somptueuse demeure. Après avoir sacrifié à un étrange rituel puis écouté l’histoire du dénommé Dada, elles veulent entendre maintenant d’autres récits de la bouche de leurs invités. L’un deux va leur raconter son histoire, dense et parfois cruelle… Adaptation d’un conte des Mille et une nuits, la série initiée début 2004 avec Nuit tombante suit son cours.
Que feriez-vous si une belle inconnue vous abordait dans la rue pour vous proposer un petit boulot, porter ses courses ? Dada, lui, se surprend à accepter. Il n’est pas au bout de ses surprises. La nuit promet d’être longue…
Ce troisième album édité par la Cafetière inaugure une série.
Baladi y revisite un genre qui lui est cher, le conte, en adaptant une des histoires racontées par Schéhérazade Le portefaix et les dames, dans une version contemporaine, avec un petit ajout, inspiré (encore plus librement) d’un conte égyptien, Le fumeur de haschisch et le roi.
Élevée isolément par sa mère, Chutney recherche son peuple, les Goloches actifs, à travers le Cosmos. Elle en rencontre deux singulières représentantes.
Celles-ci l’invitent à une partie de chasse sur la planète Malakoff, habitée par un curieux docteur…
Mais d’où vient Chutney ?
Le docteur raconte-t-il des bobards ?
Jusqu’où l’excès de plaisirs peut-il bien mener ?
Baladi raconte son voyage à Sarajevo en compagnie d’autres auteurs suisses, à l’occasion d’un échange culturel en été 1999.
Tom Tirabosco et Wazem en ont chacun donné leur version dans le n° 7 de la revue suisse Bile noire.